Présentation
Les programmes numériques développent de nouveaux usages associés aux collections, à la création artistique et à l’expérience visiteur. L’attention à une accessibilité large aux collections, notamment pour les personnes en situation de handicap, et l’intégration des comportements numériques des nouvelles générations sont au cœur de ce projet.
La boîte, élément emblématique de la réhabilition architecturale du bâtiment, propose une expérience immersive unique – collective ou individuelle – grâce à son système de vidéoprojecteurs 4K, de capteurs et de douches sonores. Trois programmes y sont développés : deux programmes à vocation documentaire et un programme de création artistique.
La réserve virtuelle
La Réserve virtuelle invite les visiteurs à explorer de façon inédite les collections du Frac-Artothèque. En naviguant parmi des jumeaux numériques des œuvres, ils peuvent en révéler les détails, créer des liens entre elles ou encore explorer les collections par thématiques. Chaque jumeau est associé à des contenus audiovisuels qui permettent de mieux comprendre son contexte de création et la pratique.
Atelier 360
Le programme documentaire Atelier 360 plonge les publics dans l’univers d’un ou une artiste et offre ainsi une rencontre unique avec une démarche artistique. Dans un univers immersif, les personnes sont plongées dans l’intimité intellectuelle et créative de l’artiste. Elles y découvrent son atelier, ses gestes, ou encore ses références et ses inspirations, en consultant par exemple sa bibliothèque ou en écoutant ses playlists favorites.
Ce programme prolonge l’une des lignes directrices du Frac-Artothèque, l’acquisition d’ensembles monographiques d’œuvres qui permettent de comprendre en profondeur le travail d’un artiste.
La façade connectée
La proposition numérique s’étend jusqu’à l’espace de la rue en transformant la façade du bâtiment en un espace de création et d’exposition. La façade permet ainsi de rencontrer l’art contemporain de la façon la plus libre qui soit, directement depuis l’extérieur, en abolissant le seuil de l’espace d’exposition. À la différence d’écrans, les panneaux LEDs qui constituent la façade sont pensés comme une membrane qui se déplie et facilite la communication entre l’espace public et l’intérieur du bâtiment. Elle est destinée à être investie par les imaginaires des plasticiens, qu’ils aient déjà une pratique numérique ou non.
Les partenaires
Abaques
ARTE
Ce que mes yeux ont vu
Centre culturel Suisse
Centre d'art contemporain de la Matmut - Daniel Havis
Centre Pompidou
Château Gonthier
Crac Montbéliard
DDA Nouvelle-Aquitaine
Elisabeth Schneider
Fondation Carmignac
Fondation Phi pour l'art contemporain
Frédéric Leterrier
Galerie Christophe Gaillard
Galerie Paris-B
Galerie Sémiose
IAC Villaurbanne
Le Consortium
Librairie Mollat
MAMCO Genève
Marion Berrin
MIAM (Musée International des Arts Modestes)
Musée d'art contemporain de Montréal
Musée d’art Moderne de la Ville de Paris
Musée des Beaux-Arts de Bordeaux
Musée du Louvre
National Gallery
Nina Laisné
Pollen